COMMUNIQUE EN REPONSE AU SATIRICON PARU DANS L'UNION DU 14 FEVRIER DERNIER

Voilà un article bien fascisant pour un journal issu de la Résistance. Un journaliste de plus qui fait honte au passé de son journal. La mode est revenue au pamphlet dans les médias. Mais pour cela, il faut du talent. Celui d'essayer ne suffit pas. D'une part "les Français se rendraient coupable" de racisme et de xénophobie. Pourquoi le conditionnel ? N'y aurait-il pas de racisme et de xénophobie en France ? Le Pen au 2è tour était peut-être une plaisanterie en 2002 ?! Il semble donc que ce journaliste devrait retourner à l'école. Oui, les immigrés sont une richesse, une force économique et culturelle. N'en déplaise à l'Union. Les immigrés consomment tous les jours des produits achetés en France et paient une TVA, donc des impôts, ils consomment des services, de l'énergie, paient leur loyer etc... comme tout le monde. Ce qui est simpliste, c'est de dire le contraire. Une force culturelle car ce sont toujours les traditions et les coutumes étrangères qui ont enrichies la France depuis la Gaule Romaine. N'importe quel historien pourra le démontrer. Avec l'Union on passe du syncrétisme au crétinisme. Nous rejoignons le journaliste quand il déclare que « le racisme et la xénophobie sont malheureusement avec la bêtise et l'ignorance les tares les plus répandues au monde » mais qui subit les discriminations au travail, au logement, aux loisirs… en France ? Pourquoi devrions-nous faire la différence entre des hommes qui ont "des papiers" et ceux qui n'en ont pas ? L’Union nous accuse mais qui fait des amalgames ? Le comité rémois « 24h sans nous » a un but unique et clair : organiser autour du 1er mars une action de sensibilisation à la place des immigrés et de leurs descendants dans notre pays, Il n'a jamais été question du conflit israélo-palestinien. Qui manipule ? En filigrane, on peut voir surtout l’acharnement de L’Union envers un membre du Conseil Municipal et ce, à un moment bien choisi. Rappelons que suite à sa condamnation en diffamation à l’encontre d’Ali Aissaoui, L’Union a fait appel et que l’affaire repassera en justice le 25 février prochain ! Une chose est sûre : s'il y a racisme, il est bien dans la plume de ce journaliste.